Mon Bagnols

La vie de tous les jours à Bagnols sur Cèze, dans le Gard.

24 juin 2009

Dépenses

Eclairage :
1 - La Citadelle, 13 200 €.
2 - Avenue Alphonse-Daudet (niveau des Cormiers), 4 800 €.
3 - Impasse des Anémones, 3 000 €.
4 - Rue des Genêts, 2 400 €.
5 - Rue des Iris, dans le cadre du contrat avec Citéos.
6 - Zone de Berret, dans le cadre du contrat avec Citéos.
7 – Allée des Thuyas, 4 000 €.
8 - Rue de la Lionne, 9 000 €.
9 - Chemin de Capite, 5 700 €.
10 - Chemin du Pigeonnier, 3 200 €.
11 - Route des Cévennes, dans le cadre du contrat avec Citéos.
12 - Route du Bordelet, dans le cadre du contrat avec Citéos.

Urbanisme :
1 - Etude pour l'aménagement (subventionnée par la communauté de communes RCL), d'une aire d'accueil des gens du voyage, 15 000 €.
2 - Réimplantation du club hippique, 100 000 €.
3 - Etude pour la 3 e tranche de travaux de voirie et réseaux divers aux Escanaux, 87 000 €.
4 - Etude de réaménagement de l'avenue Roger-Salengro, 20 000 €.
5 - Etude de réaménagement des abords de la gare, 5 000 €.

Voirie :
1 - Avenue du Commando Vigan-Braquet, 100 000 €.
2 - Avenue Alphonse-Daudet, (subventionné par le conseil général), 600 000 €.
3 - Rue de la Margue, 50 000 €.
4 - Secteur sud de la ville, 60 000 €.
5 - Parking des Peupliers et des Cyprès, 33 000 €.
6 - Avenue de l'Ancyse (avec la mairie de Sabran), 24 000 €.
7 - Boulevard Théodore-Lacombe, 23 000 €.
8 - Carmignan (hors plan, subventionné par le conseil général), 45 000 €.
9 - Terrain ancien supermarché Casino, 150 000 €.
10 - Rue Louis-Thomas, 15 000 €.
11 - Rue André-Sautel, 15 000 €.
12 - Avenue du Bordelet, 10 000 €.
13 - Rue Albert-André, 40 000 €.
14 - Rue du Moulin à l'huile, 27 000 €.
15 - Pont Robert-Schuman (subventionné par l'Etat), 72 500 €.
16 - Avenue du Général-de-Gaulle (subventionné par l'Etat), 70 000 €.
17 - Chemin de Chaudeyrac, 50 800 €.

Bâtiment :
1 - Centre culturel Léo-Lagrange, 100 000 €.
2 - Rue Racine (à proximité du centre culturel), 58 000 €.
3 - La Citadelle, 90 000 €.
4 - Ecole Jean-Jaurès, 85 000 €.
5 - Hôtel Mallet, 185 000 €.
6 - Stade Saint-Exupéry, 150 000 €.
7 - Complexe sportif Saint-Exupéry, 350 000 €.

Eaux :
1 - Avenue Vigan-Braquet, 80 000 €.
2 - Avenue Alphonse-Daudet, 225 000 €.
3 - Rue de Lamargue, 60 000 €.
4 - Zone de Berret, 17 000 €.
5 - Chemin de Berret, 10 000 €.
6 - Route de Nîmes, partie sud, 140 000 €.
7 - Route de Nîmes, partie nord, 80 000 €.
8 - Avenue Ernest-Euzéby, 95 000 €.
9 - Terrain ancien supermarché Casino, 15 000 €.
10 – Rue Louis-Thomas, 15 000 €.
11 - Rue André-Sautel, 30 000 €.
12 - Allée du Béal, 10 000 €.
13 - Rue Albert-André, 65 000 €.
14 - Rue du Moulin à l'huile, 45 000 €.

Espaces verts et loisirs :
1 - Abords du rond-point Compère-Morel, route d'Avignon, 9 500 €.
2 - Nouveau rond-point de la route de Nîmes, 12 000 €.
3 - Mont-Cotton, 5 000 € + 35 000 €.
4 - Parcours de santé chemin de Bourdilhan, 5 000 € + 5 000 €.
5 - Allée des Iris, 15 000 €.
6 - Place Auguste-Mallet, 18 500 €.
7 - Square André-Thome, 22 000 €. 8 - Jardin des Pénitents, 10 000 €.

08 juin 2009

Résultats des élections européennes

Les élus de la circonscription Sud-Ouest :

Quand l'Europe veut, l'Europe peut - Majorité Présidentielle - UMP - Nouveau Centre - la Gauche Moderne conduite par Dominique Baudis (LMAJ)
M. Dominique BAUDIS
Mme Christine DE VEYRAC
M. Alain LAMASSOURE
Mme Marie-Thérèse SANCHEZ-SCHMID

Changer l'Europe, maintenant avec les socialistes (LSOC)
M. Kader ARIF
Mme Françoise CASTEX

Démocrates pour l'Europe liste soutenue par François Bayrou (LCMD)
M. Robert ROCHEFORT

Europe Ecologie avec Daniel Cohn-Bendit, Eva Joly, José Bové (LVEC)
M. José BOVE
Mme Catherine GREZE

Front de gauche pour changer d'Europe (LCOP)
M. Jean-Luc MELENCHON


A Bagnols :


Dans le Gard :



Dans le sud-ouest :














































































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03 juin 2009

Des projets d'aménagement sportifs à Bagnols

L'actuelle salle des arts martiaux, située dans le complexe sportif Saint-Exupéry ne répond pas à des conditions idéales d'utilisation. La création d'une nouvelle salle était donc devenue une nécessité, et cela depuis plusieurs années.

Sa réalisation était d'ailleurs une promesse des anciennes équipes municipales, sans jamais aboutir. L'actuelle mairie a donc hérité du projet et a décidé d'inscrire sa réalisation dès le début de son mandat. La nouvelle salle des arts martiaux sera très probablement inaugurée à la rentrée 2010, le premier coup de pelle devant être donné en octobre prochain, pour un chantier prévu pour durer dix mois. Le dojo sera intégré à l'actuelle structure de Saint-Exupéry, côté Est, près du croisement de la rue Caporal Gayte avec l'avenue du Bordelet. Il sera pourvu d'une entrée séparée. À la place de l'ancienne salle, seront créés des sanitaires et des vestiaires spécialement dédiés aux usagers de la salle.

Le coût total des travaux s'élève à 750 000 €, financés par la Région, Jeunesse et Sports, le conseil général et la Ville. Le projet comprend aussi la réfection de l'actuelle entrée de Saint-Exupéry avec la création d'une petite extension, celle de la salle de ping-pong, de la loge du gardien, du bardage extérieur et le changement du portail.

Si le dojo était l'une des priorités de la municipalité, les élus ont d'autres projets dans les cartons, dans le domaine des équipements sportifs. Le maire Jean-Christian Rey n'a jamais caché qu'il voulait un stade Saint-Exupéry digne de ce nom, c'est-à-dire avec des tribunes pour permettre au public d'assister plus confortablement aux rencontres.

Un autre projet est envisagé autour de la piscine. Moins avancé, celui-ci prévoirait de la chauffer en hiver - mais pas de la couvrir comme certains sportifs le demandent - afin de permettre une utilisation plus large. On en saura peut-être plus aujourd'hui, puisque la municipalité tient une conférence de presse à ce sujet.

Des travaux ont aussi été menés sur la piste d'athlétisme Jean-Luc-Chas, afin d'homologuer l'aire de lancer de poids.


L'élu aime à rappeler aussi que désormais, certains équipements sont à la disposition des Bagnolais qui le désirent, lorsque ceux-ci ne sont pas utilisés par les associations ou les clubs.

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01 juin 2009

220 000 Languedociens concernés par le RSA

Le Revenu de solidarité active (RSA) entre en vigueur ce lundi. Et, avec lui, éclate au grand jour la précarité de nombreuses familles du Languedoc-Roussillon et de l'Aveyron. Car si les allocataires du Revenu minimum d'insertion (RMI) et de l'Allocation parent isolé (API) sont automatiquement inscrits au RSA, ses autres bénéficiaires, des travailleurs pauvres, devront très vite se déclarer pour pouvoir y prétendre. Or, selon les premières estimations, le nombre de personnes susceptibles de percevoir le RSA pourrait atteindre 220 000 rien qu'en Languedoc-Roussillon. C'est bien plus du double des actuels allocataires du RMI et de l'API.

La pauvreté éclate au grand jour dans le Midi

Près de 87 500 allocataires du Revenu minimum d'insertion (RMI) ou de l'allocation parent isolé en Languedoc-Roussillon et en Aveyron. Combien de bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA) demain ? A priori, 193 000 dans la région et 6 000 en Aveyron. C'est-à-dire bien plus du double du nombre de RMIstes et d'API. Voilà les premières estimations des Caisses d'allocations familiales (Caf). Selon les conseils généraux, le RSA pourrait concerner 220 000 allocataires.

Aux RMIstes et bénéficiaires de l'API s'ajouteront les travailleurs pauvres. En comptant les enfants et conjoints, cela porterait le chiffre des personnes dépendant du RSA à 350 000 en Languedoc-Roussillon (14 % de la population) et 11 000 et en Aveyron, sur la base des estimations des Caf.

Le RSA, pour qui ?

Les allocataires du RMI et de l'API seront automatiquement inscrits au RSA, sans démarches à faire. Les autres, ceux qui peuvent y prétendre, devront se déclarer pour le percevoir.

Pour l'essentiel, le dispositif s'adresse aux personnes de plus de 25 ans, à celles de moins de 25 ans ayant un enfant né ou à naître, exerçant ou non une activité professionnelle et résidant en France de manière stable, effective et permanente. Le montant du RSA dépend de l'ensemble des ressources du foyer et de la situation familiale.


Sortir des personnes de la pauvreté

Le RSA vise à encourager le retour à l'emploi. Il tentera de réussir là où le RMI a échoué. Grâce à lui, la reprise d'activité ne fera pas perdre du pouvoir d'achat à celui qui veut travailler.

En outre, s'il donne des droits, le RSA impose des devoirs. Exemple : dans un certain nombre de cas, le bénéficiaire du RSA est tenu de rechercher un emploi ou essayer de se réinsérer, faute de quoi il peut s'exposer à sanction : suspension ou réduction de l'allocation.


Une explosion des inscriptions attendue

L'entrée en vigueur du RSA provoquera des bouchons. Motif : ses bénéficiaires potentiels sont bien plus nombreux en Languedoc-Roussillon et en Aveyron qu'ailleurs en métropole.

A elle seule, la région regroupe 6,2 % des allocataires français potentiels... De très nombreux exploitants agricoles, en situation très précaire, recourront au RSA.

Les conseils généraux, les Caf et Pôle Emploi, tous amenés à intervenir dans le dispositif, s'attendent à un afflux massif, dans un contexte économique délétère.

L'Hérault et le Gard avaient pourtant tous deux expérimenté le RSA avec succès. Dans l'Hérault, 15 % des personnes accompagnées avaient réussi à retrouver une activité, tandis que 60 % s'étaient remises dans une dynamique d'insertion professionnelle. L'époque, toutefois, était différente ...