Mon Bagnols

La vie de tous les jours à Bagnols sur Cèze, dans le Gard.

28 février 2010

Régionales : liste UMP

La liste gardoise 1. Igor Kurek, UMP, éducateur spécialisé, Aramon ; 2. Marie-Line Monjioles, UMP, clerc de notaire, Lédignan ; 3. Pierre Bories, Debout la république, gérant de société, Villeneuve ; 4. Paulette Vicente, Parti libéral démocrate, consultante, Alès ; 5.
Emmanuel Jean, agent de maîtrise, Milhaud ; 6. Nicky Neef, directrice artistique, Uzès ; 7. Luc Béridot, auteur-compositeur, Aramon ; 8. Eve Cordoliani, secrétaire médicale, Nîmes ; 9. Christian Bugiani, Parti radical valoisien, Montfrin ; 10. Aurore Girardin, employée administrative, Montfrin ; 11. Jehan Giroud, ingénieur, Alès ; 12. Annick Belcour, MPF, restauratrice, Nîmes ; 13. Julian Dussolier, Nouveau Centre, étudiant, La Bruguière. 14. Violette Pailhes, Debout la république, étudiante ; 15. Yann Le Goff, Parti radical, agent commercial, Villeneuve. 16. Christine Lefort, UMP, mère au foyer, Aigues-Mortes. 17. Guillaume Deros, responsable associatif, Caveirac ; 18. Mauricette Guichard, UMP, Le Cailar ; 19. Lionel Battalier, restaurateur, Aramon ; 20. Laurence Deblasi-Terra, chef d'entreprise, Beauvoisin.

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24 février 2010

Rénovation du quartier de la Coronelle

Le démarrage de la première tranche du chantier de démolition-reconstruction de la Coronelle est imminent.
Il commencera par le démantèlement des six premières villas (sur une vingtaine) situées à l'arrière du bâtiment collectif, après une phase préparatoire de sécurisation des lieux, notamment au niveau des réseaux d'eau et d'électricité.
A la place, 22 logements sortiront de terre sous la forme de deux immeubles de deux à trois étages. Les fondations pourraient être posées dès mars. « Les travaux devraient durer un peu plus de 14 mois comme préalablement annoncé, du fait du rajout de garages au projet », explique Jean-Paul Vigne l'ingénieur chargé d'opération qui supervise le dossier. Les ensembles seront agrémentés d'un parking et d'une entrée du côté du chemin de Lagaraud.
Habitat du Gard donnera, quasiment dans le même temps, le coup d'envoi de la deuxième tranche de travaux qui comprendra 23 appartements là aussi sur deux bâtiments de deux étages, à bâtir sur un terrain fraîchement acquis par le bailleur à côté du parking de l'hôpital
Si tout va bien, les 45 logements pourraient être livrés d'ici deux ou trois ans. Les 3 e et 4 e tranches du chantier impliquent la destruction de la tour HLM existante et son remplacement par des immeubles résidentiels.
Si l'on ne connaît pas encore le nombre total exact de logements qui seront construits à terme pour replacer les 68 existants, « il sera à peu près le même, assure Jean-Paul Vigne , mais sur une surface plus grande ». Et ce, peut-être d'ici quatre ou cinq ans minimum.
Le coût des deux premières tranches du projet Nouvelle Coronelle est estimé à 4,5 M €, financés en grande partie par Habitat du Gard, mais aussi par l'État, la Région et le Département. Deux acteurs locaux particulièrement importants dans la mesure où les crédits de l'État « sont en train de fondre comme neige au soleil », indique Habitat du Gard. De 5 600 € de crédits par logement construit, l'État n'alloue plus que 2 200 €.Qui dit appartement plus grand, dit loyer (notamment ceux avec un jardinet) et APL un peu plus élevés. Les logements seront accessibles aux handicapés et conformes aux exigences des projets privés en terme d'isolation thermique et acoustique. La plupart seront orientés plein sud.
Le relogement des habitants « est un processus très long car il se fait au cas par cas en fonction de ce que souhaitent les gens » , indique Jérémie Serra. A ce jour, il reste encore 14 villas (sur 20) et 45 appartements (sur 48) encore occupés. Les logements vides ne sont plus reloués. Les résidents des six villas ont déjà retrouvé un toit. « On privilégie le relogement des villas car cela permettra de libérer plus de surface pour la construction », indique Habitat du Gard qui promet de prendre en charge les frais de déménagement et d'ouverture de compteurs des locataires, et d'offrir une prime de 150 € pour les frais induits. Le processus devrait s'accélérer à la livraison des deux premières tranches de la Nouvelle Coronelle. A ce moment-là, en fonction du nombre de locataires présents dans les 16 villas et dans l'immeuble actuel, Habitat du Gard déterminera si la suite du chantier pourra se dérouler en une ou deux autres tranches.

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22 février 2010

Un appel au don pour financer le deuxième pont sur la Cèze ?

Le Pays du Gard rhodanien a lancé une initiative amenée à faire parler d'elle, concernant le deuxième franchissement sur la Cèze dont on parle depuis longtemps à Bagnols.
L'opération a été baptisée : "Un don pour un pont".
L'objectif : permettre de récolter des dons pour financer un deuxième ouvrage.
Samuel Serre, secrétaire général de l'agence Gard rhodanien développement reste réaliste : « L'initiative sera limitée dans le temps et on ne pense certainement pas récolter la totalité des 12 ou 13 M€ nécessaires à la réalisation d'un pont à 2x2 voies, mais on espère que cette initiative pourra être le déclic nécessaire à sa réalisation ».
Il fallait trouver un système pour la mettre en place. Le Pays du Gard rhodanien a trouvé l'outil pour mener en bonne et due forme ce projet. Pour ce faire, il devrait avoir recours au dispositif des fonds de dotation (personne morale de droit privé à but non lucratif qui reçoit et gère des biens et droits de toute nature qui lui sont apportés à titre gratuit et irrévocable et les utilise en vue de la réalisation d'une oeuvre ou d'une mission d'intérêt général).
Cette initiative a probablement pour but de relancer le débat sur le 2ème pont sur la Cèze, réclamé depuis longtemps et de plus en plus nécessaire, au vu des embouteillages contatés quotidiennement.
Reste que ce n'est probablement pas à cette structure de financer un tel projet, et qu'elle n'est certainement pas en position de décisionnaire sur le sujet.
Par ailleurs, au-delà des moyens financiers nécessaires, reste la question de fond : un 2ème pont pour quoi faire ? Pour quel flux ? A quel endroit sur la Cèze ? Une fois un projet défini, il sera temps de le financer. L'initiative proposée ressemble donc plus à de l'agitation médiatique qu'à un véritable souci de voir les choses réellement avancer.
MISE A JOUR : la réaction du maire de Bagnols ne s'est pas fait attendre
Jean-Yves Chapelet s'est fendu d'un communiqué pour le moins sévère à l'encontre de Samuel Serre : « Je trouve le procédé, sinon incongru, pour le moins déplacé. En effet, les entreprises et les citoyens sont en droit d'obtenir un deuxième pont sans être obligé de faire un don. Je rappelle que le premier des dons, c'est l'acquittement des taxes, impôts sur le revenu, taxe d'habitation, taxes foncières..., par les contribuables. Qu'une entreprise apporte une participation sur un équipement qui la concerne directement, pourquoi pas, cela se pratique déjà, mais plus généralement la responsabilité financière incombe aux collectivités et à l'État, qui se doivent de réaliser les infrastructures nécessaires au développement territorial et économique. »
Le maire de Bagnols-sur-Cèze, Jean-Yves Chapelet, précise que ce dossier du doublement du pont de Cèze est porté par la Ville et la communauté de communes Rhône Cèze Languedoc : « J'ai d'ailleurs rencontré à ce titre le vice-président du conseil général, Jean Denat, afin d'évoquer ce projet. La Ville vient de se lancer dans la réalisation de l'entrée Nord, et le doublement du pont représente une des phases de cette opération. »
Jean-Yves Chapelet ne se montre pas tendre avec Samuel Serre : « Il est particulièrement malvenu pour Monsieur Samuel Serre d'évoquer ce dossier dans lequel il n'intervient à aucun moment, sinon pour brouiller l'esprit des lecteurs et des citoyens par une proposition farfelue. La responsabilité des élus que nous sommes c'est d'assumer par nos actions, certainement pas de se défausser par ce genre de proposition que je ne cautionne pas du tout. Je vais d'ailleurs écrire à Monsieur le président de Gard rhodanien développement pour l'informer de ma désapprobation quant à cette proposition. »
Nota : Samuel Serre est tête de liste gardoise d'Alliance écologiste Indépendante - Génération Languedoc-Roussillon.

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20 février 2010

Un nouveau nom pour le parking de l'ancien Casino

La mairie consulte les bagnolais pour choisir le nouveau nom du parking de l'ancien Casino, qui a été refait.

Le nouveau parking créé à l'emplacement de l'ancien terrain Casino va bientôt ouvrir ses portes. Parmi ces dénominations, laquelle préférez-vous ?

Le choix est restreint. Pas de proposition ouverte, dommage...

S'il y avait des abattoirs, il faudrait communiquer là-dessus.

L'Europe, comme l'avenue du même nom et cohérent avec le grand drapeau sur le rond-point Jean Monnet, père de l'Europe.

Petit Cèze, comme la rue qui le longe.

Ou la Cèze, comme l'emblême de la commune ?

Parions sur l'Europe ou la Cèze !

Les travaux du dojo reprendront en 2010

Selon Michel Cegielski, élu aux sports à la mairie de Bagnols, c'est une attente de réponse pour des subventions qui a causé un retard – qu'il minimise – sur le planning de travaux, tel qu'il avait été annoncé l'an passé, pour l'aménagement d'un nouveau dojo au complexe sportif Saint-Exupéry de Bagnols.

Le début des travaux avait été programmé pour octobre 2009 et la fin pour la rentrée 2010, mais, pour l'instant, seuls 14 arbres (des cèdres de l'Atlantique et des pins communs) ont été abattus, en juin dernier.

Le nouveau planning prévoit le lancement d'un appel d'offres en mai ou juin 2010, avec un début de travaux en juillet, une pause en août et une reprise en septembre. Le dojo devrait être livré donc au premier trimestre 2011.

« On a hâte de voir le premier coup de pelle, souligne le président du Bagnols judo, Jean-Marie Herbet, mais on a attendu tellement d'années... qu'on voit et on apprécie la volonté de l'actuelle municipalité de finaliser le projet. » En effet, cela faisait plusieurs lustres et différents maires que le dojo attendait un gros lifting. « L'intelligence de l'actuelle mairie est de ne pas être partie de zéro, mais d'avoir retravaillé avec nous un projet déjà existant », poursuit Jean-Marie Herbet.

Le comité gardois de judo financera 60 m² du tatami, qui mesurera au total 169 m² . Le reste sera pris en charge sur les fonds propres du club bagnolais, ou recherché auprès de sponsors, pour un prix final qui se situe autour des 10 000 €.

Le futur dojo donnera un petit coup de neuf au complexe sportif Saint-Exupéry, vieux d'une quarantaine d'années, ce qui bénéficiera aussi à un autre sport, puisque la moitié de l'actuel dojo passera à la salle de boxe.

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"A gauche maintenant" veut le TER gratuit pour les salariés

À gauche maintenant parle du « TER gratuit pour les trajets domicile-travail. Les entreprises seraient mises à contribution, comme cela se fait à Paris », expliquent-ils. Pour financer tout ça, une fourchette entre 30 et 70 millions d'euros est évoquée.

L'idée générale reste celle d'un maillage sur territoire par les trains.

A propos du doublement de l'autoroute A9 : « On est opposés à la logique du tout camion. Le fret doit être remis sur le rail ou sur les voies d'eau. C'est ce qui était dit dans le Grenelle de l'environnement. Et c'est tout l'inverse qui est fait ».

La Rhodanienne, sur laquelle l'équipe Frêche s'est engagée financièrement, s'inscrit dans cette logique, « même si cela reste un sujet en discussion. Mais si on met de l'argent là-dessus, on ne le mettra pas dans une autre politique de transports, ou dans l'éducation. La priorité doit plus se situer autour de gares attrayantes, vers lesquelles convergerait tout un réseau de bus ».

Par contre, la question du doublement du pont de la Cèze à Bagnols fait bien partie des priorités.

L'occasion pour eux de rappeler que « cela aurait dû figurer dans le plan de relance, mais le député Roubaud semble avoir des priorités plus importantes »

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19 février 2010

Redécoupage : un site formidable

Une analyse poussée des propositions Marleix pour le redécoupage électoral de 2009, avec cartes et comparaison 1986 - 2009.
Et surtout : des propositions ! De bonnes propositions, fondées sur des considérations territoriales et démographiques, sans aucun intérêt pour la cuisine partisane.
C'est excellent, et c'est -> là <-, pour le Gard.
Je ne résiste pas à vous livrer le commentaire pour notre département :
Le Gard et plus encore la ville de Nîmes méritaient mieux que le traitement infligé par le secrétaire d'Etat aux Collectivités territoriales. On pouvait par exemple cesser de diviser Alès, même si son statut de capitale des Cévennes lui permet de prétendre à être à la tête de l'ensemble de cette région, pour constituer autour d'elle une circonscription sur mesure et une autre, agréable conséquence, dans le nord-est du département qui correspondît enfin à quelque chose. Ceci peut-être afin de cesser de faire de cette zone une zone de prélèvement de cantons servant à
compléter d'autres circonscriptions. Après tout, Bagnols/Cèze, qui rayonne sur les cantons de Lussan et de Roquemaure, et même Pont-St-Esprit, sont des petites villes dignes de ce nom qui aspirent peut-être à un minimum de respect. Le ministre réunit tous les contreforts des Cévennes en une même circonscription. Bien entendu, nous sommes résolument convaincus que cela est fait au titre de l'orographie! Sauf que tout cela ne communique pas, et que de surcroît le ministre est en conséquence obligé d'aller chercher des cantons jusqu'au Rhône pour compléter Alès Est. Comme vous l'avez remarqué ailleurs en France, la ligne de conduite suivie par le ministre, consistant à reprendre le maximum du découpage précédent l'a conduit à quelque acrobatie ici ou là. A Nîmes, cette politique aboutit à l'injustifiable: se livrer à une double pincement dont les branches s'entremêlent dans le coeur de Nîmes et même à l'entour de cette malheureuse ville laisse songeur, et pas pour le meilleur de ce que la pensée humaine peut produire...

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18 février 2010

Les ordures ménagères à RCL

Depuis septembre 2009, la collecte, le traitement et la valorisation des déchets des ménages et déchets assimilés n'est plus de la compétence des communes mais de la commu auté de communes Rhône Cèze Languedoc (RCL).
Dans ce cadre, la commission locale d'évaluation des charges transférées (Clect)présidée par Jean-Yves Chapelet a été chargée d'établir un état des lieux. Notamment des différents contrats qui liaient jusque-là les communes avec leurs prestataires (Nicollin, Onyx, Sita Sud) et du coût global du service pour chacune, adhésion au Sitdom, Sivu, Smiom, déchetterie compris. Seule Pont-Saint-Esprit fonctionne encore sous le régime de la régie communale. Le principe d'une étude comparative avec le système de délégation de service public a d'ailleurs été retenu.
Pour 2010, RCL ne percevant pas encore directement la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM), chaque commune devra lui verser le montant équivalent au coût de son service. En contrepartie, les dix communes pourront conserver le même montant de dotation de compensation de la taxe professionnelle (DTCP) de la part de RCL qu'en 2009, alors que la loi indique qu'elle peut être minorée des charges transférées (3 450 577 € pour Bagnols, 3 888 692 € pour Laudun et 2 251 564 € pour Pont).
En 2011, lorsque RCL percevra directement le fruit de la TEOM, si par exemple, les recettes ne couvrent pas les coûts du service pour une commune, elle verra sa dotation réduite. La Clect s'est aussi engagée à ce que les décisions relatives aux ordures ménagères soient prises à l'unanimité. Chaque année, RCL votera le taux de la TEOM souhaité par chaque commune, chacune proposera les conditions de renouvellement de son service, et tous les gains d'échelle générés par les renégociations des contrats de service devront être réaffectés sur le budget des ordures ménagères pour améliorer le service.
Pour l'instant, les mairies gardent donc la main. Mais à terme, un lissage des taux devra s'opérer à terme pour parvenir à mettre en place le même service sur tout le territoire.

15 février 2010

Liste Europe Ecologie Régionales 2010

Présentation de la liste Europe Ecologie Languedoc Roussillon avec Daniel Cohn-Bendit, Eva Joly, José Bové

Tête de liste régionale : Jean-Louis Roumégas
AUDE1 - Pascal FRISSANT, vigneron et oléiculteur, La Caunette2 – Maryse ARDITI, vice-présidente du Conseil Régional, Narbonne3 – Jacky GRAU, formateur en usine et entreprise, Narbonne4 – Christine STHEMER, animatrice d'associations environnementales, Carcassonne5 – Alain POTTIER, gérant d'entreprise agroalimentaire, Névian6 – Sandrine ROUILLARD, agent commercial, Monze7 – Jérôme HAMELIN, chercheur en écologie, Ornaisons8 – Sophie IVALDI, professeur de Lettres, Carcassonne9 – Franck DELATTRE, formateur en éco-bâtiment, Belvèze-du-Razès10 – Corinne BOUCHET, psychologue, Narbonne11 – Bernard PETTIT, libraire et musicien, Cuxac d'Aude12 – Monique CALMETTES, commerçante de village, Argeliers

GARD1 – Nadja FLANK, militante associative, Sainte Anastasie2 – Silvain PASTOR, Conseiller régional du Languedoc-Roussillon, Nîmes3 – Béatrice BERNARD CHAMSON, conseillère municipale de Saint Hilaire de Brethmas4 – Nasser MOHAMEDI, militant quartiers et écologie populaires, Nîmes5 – Claudine PAUL, responsable d'associations occitanistes, Nîmes6 – Didier CAIRE, conseiller municipal d'Aigues-Mortes7 – Béatrice LECCIA, conseillère municipale de Boissières8 - Stéphan ARNASSANT, responsable d'assoc. environnementales, St-Gilles9 – Muriel BAILEY, éco-citoyenne faucheuse d'OGM, Caveirac10 – Martial JOURDAN, conseiller municipal d'Uzès11 – Jeannine BOURRELY, responsable syndicale agricole, St-Jean-du-Gard12 – Emmanuel SCHOR, maire de Cruviers-Lascours13 – Annie CHAREYRE, ancienne Conseillère municipale de Salindres14 – Claude DUBOIS, conseiller municipal de Beaucaire15 – Corinne DERIAN, conseillère municipale de Domazan16 – Thierry BAZZANA, maire adjoint de de Saint-Hippolyte-du-Fort17 – Geneviève BLANC, conseillère générale du canton d'Anduze18 – Alain GLASBERG, ancien 1er adjoint au maire de Rochefort-du-Gard19 – Vida SALVADOR, agricultrice bio retraitée, Marguerittes20 – Christophe TEISSIER, maire adjoint de Saint-Christol-les-Alès

HERAULT1 – Jean-Louis ROUMEGAS, porte-parole national des Verts, conseiller municipal Vert de Montpellier2 – Zina BOURGUET, conseillère municipale Verte de Mauguio3 – Georges FANDOS, ingénieur agronome, délégué régional de CAP214 – Charlotte BONIFACE, altermondialiste5 – Mustapha MAJDOUL, chef d'entreprise, conseiller municipal à Montpellier6 – Michèle COMPS, conseillère régionale Verte, adjointe au maire de Vieussan7 – Nicolas DUBOURG, administrateur de théâtre, responsable de « Nouvelle Gauche »8 – Carole LAGNES, professeur des écoles9 – Emmanuel REYNAUD, secrétaire régional des Verts Languedoc Roussillon10 – Anne GROLLEAU-TITAUT, médecin, Pignan11 – Jean CHARPENTIER, maire de Lunel-Viel12 – Roselyne BÄHLER, enseignante, ancienne adjointe au maire de Sète13 – Gérard SAËZ, conseiller municipal Vert de Clermont l'Hérault14 – Eliane BLANQUIER, psychologue clinicienne15 – Serge AZAÏS, vigneron Picpoul de Pinet, responsable de cave coopérative, Montagnac16 – Agnès GIZARD, enseignante, Agde17 – Patrice POLLET, spécialiste en développement social de l'entreprise, Béziers18 – Meriem REDA-BESSE, psychologue à La Paillade19 – Robert BOUSSEGUI, conseiller en gestion, chargé de formation, Aniane20 – Pascale PIBOT, rédactrice scientifique21 – Abdelhalim BENBAKIR, consultant22 – Isabelle CARCASSONNE, cadre en marketing, Lodève23 – Claude PRIVAT, écologiste militant, Castelnau Le Lez24 – Yvette SIOL, enseignante, Montpellier25 – Christian DUPRAZ, directeur de recherche à l'INRA26 – Régine BARTHELEMY, avocate engagée pour les libertés et l'écologie

LOZERE1 – Michèle MANOA, conseillère générale de Lozère et maire de Sainte Croix Vallée Française2 – Dominique BRUN, médecin psychiatre, Mende3 – Sandra BOURGUET, comptable4 – Grégoire DE SAINT-JORRE, gérant de société5 – Michèle SAINT-PIERRE LHUILLIER, retraitée de la formation pour adultes

PYRENEES-ORIENTALES1 – Agnès LANGEVINE, cadre hospitalier , Perpignan2 – Pere MANZANARES, responsable culturel Catalogne Nord3 – Katia MINGO, porte-parole régionale des Verts4 – Marcel FOURCADE, maire de La Llagonne5 – Sandra VITALI, consultante aide au développement, Port-Vendres6 – Franck HUETTE, conseiller municipal délégué environnement7 – Myriam GICHUKI, infirmière, Pia8 – David MARAIS, délégué régional commission handicap, Olette9 – Alicia EY NOMDEDEU, militante Esquerra Republicana Catalunya RossellÓ10 – Olivier PARRA, producteur spectacle et animations, Fenouillédes11 – Brigitte CASALS, conseillère insertion emploi, Saint-Cyprien12 – François FERRAND, conducteur de car, Prades13 – Sébastienne DELCLOS, militante Esquerra Republicana Catalunya RossellÓ14 – Jean-Baptiste LLATI, avocat droit du travail Espira de l'Agly

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Des panneaux solaires sur les toits des bâtiments sportifs ?

L'énergie solaire pourrait bien être une piste à étudier pour régler le problème du vieillissement des toitures de plusieurs bâtiments communaux et des halles de sports en particulier.

La réflexion a été lancée en commission urbanisme, travaux et qualité de vie le 4 février dernier. Samedi dernier, le conseil municipal a validé à l'unanimité le principe d'installation de centrales photovoltaïques sur les halles Saint-Exupéry, Pierre-de-Coubertin, Jean-Mermoz, ainsi que sur le groupe scolaire des Estouzilles et au-dessus du parking Euzéby, chemin du Moulin de la Tour.

Concrètement, les toitures des halles sont aujourd'hui usées et l'isolation laisse à désirer. Il faut donc les rénover. L'installation de panneaux photovoltaïques pourrait être l'occasion rêvée pour un ravalement.

Quant au parking Euzéby, il deviendrait ainsi couvert pour le plus grand soulagement des usagers à la recherche d'un peu d'ombre en été.

De là à ce que l'ensemble des travaux soit pris en charge et financé par un exploitant privé, en contrepartie d'une autorisation d'exploiter le parc moyennant un loyer à la commune, il n'y qu'un pas que le maire ne veut pas encore franchir. Même s'il admet que les projets des prestataires de la filière sont plus « construits qu'il y a trois ans. » Pour l'instant, les élus ont simplement donné leur feu vert pour la réalisation d'une étude de faisabilité effectuée à titre gracieux par la SARL spécialisée VSB Energies nouvelles à Nîmes. Elle devra donner des réponses quant au coût des investissements, désamiantage compris, sur les possibles économies d'énergie et enfin sur le montant des loyers que peut exiger la mairie.

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11 février 2010

L'immeuble insalubre a été démoli

Pour le maire, Jean-Yves Chapelet, « c'était une verrue. » Mais surtout, l'immeuble en question présentait « un danger. La sécurité n'était plus respectée pour les piétons, nous avions fait condamner le trottoir, devant. » Cette vieille maison de l'avenue Léon-Blum était même devenue « un gros dossier », pour les maires qui se sont succédé à l'hôtel de ville. « Gérard Revol avait ouvert le dossier, René Cret l'avait poursuivi sans succès, rappelle Jean-Yves Chapelet. Lors de notre élection, Jean-Christian Rey me l'avait confié, en ma qualité d'adjoint à l'urbanisme. » Son premier geste avait donc été d'interdire le stationnement devant la façade, afin de permettre aux piétons d'emprunter la chaussée, pour éviter un accident au cas où un éboulement ne se produise. Puis, Jean-Yves Chapelet a entamé des réunions et négociations avec le propriétaire. « Nous lui avons d'abord proposé de racheter son bien immobilier, au prix des domaines, c'est-à-dire 120 000 €. Après un premier refus, nous avons proposé une deuxième offre, plus généreuse... Mais tout en promettant les démarches que la loi nous permettait. » Le propriétaire des lieux refusant toujours de céder son bien à la ville, celui qui était devenu maire entre temps, lance une procédure de mise en péril, attestant que l'immeuble peut à tout moment s'effondrer. « Cela permet à la Ville, poursuit Jean-Yves Chapelet, de faire démolir le bâtiment en question, et de faire payer à son propriétaire, les frais engagés. » En début d'année, la procédure est lancée. Elle n'ira pas jusqu'au bout. Lundi, le maire apprend que des engins se sont attaqués à la démolition des lieux. Il se rend sur place, avenue Léon-Blum, pour vérifier l'information. « Je suis très satisfait, c'était devenu un dossier important. » Il a rencontré le propriétaire qui ne lui a pas dévoilé ses nouvelles intentions. Il devra de toute façon déposer un permis de construire pour tout nouveau projet. « Peu importe, l'essentiel est que la sécurité soit garantie. » Et les piétons peuvent à nouveau emprunter le trottoir.

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06 février 2010

Premier sondage Régionale 2010

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